Le CreusotRiche d'un passé prestigieux, la ville du Creusot fut choisie au XVIIIe siècle pour implanter la Fonderie royale de canons pour la Marine, puis la Cristallerie de la Reine Marie-Antoinette.
Vie municipaleRetrouvez l'ensemble des actualités des instances municipales : conseil, budget, délibérations.
L’équipe municipaleLe Conseil municipal se compose de 35 élus, dont 29 élus de la majorité et 6 élus d’opposition.
Aux côtés du Maire, 10 adjoints et 6 conseillers délégués forment l’exécutif.
Le Conseil municipalLe Conseil municipal se réunit en séance plénière plusieurs fois dans l’année afin de régler par des délibérations les affaires de la commune.
Les marchés publicsProfil d'acheteur de la Ville du Creusot : vous retrouverez ici les offres qu'elle publie.
RGPDLa Ville du Creusot accorde la plus grande importance à la confidentialité de vos informations.
Action Coeur de villeAction cœur de ville est un programme de l’Etat qui vise à renforcer l’attractivité des communes moyennes et notamment leurs centres-villes.
Economie LocaleL’histoire du Creusot est indissociable de l’industrie. Mais Le Creusot a su s’adapter et diversifier ses activités pour rester un pôle économique majeur.
IndustrieL’histoire du Creusot est indissociable de l’industrie. Il est impossible d’évoquer Le Creusot sans parler de la famille Schneider, qui a régné plus d’un siècle sur la ville et lui a donné sa renommée mondiale.
CommercesLe Creusot compte de nombreux commerces implantés dans ses différents quartiers. Soucieuse de redynamiser encore son centre-ville, la ville multiplie les initiatives pour renforcer son offre de proximité.
MarchésLe Creusot accueille plusieurs marchés où vous pourrez faire de bonnes affaires, que ca soit pour des produits frais, du textile ou du bazar…
S’implanter ou se développerGrâce à ses nombreux atouts, Le Creusot attire de nombreuses entreprises ou porteurs de projets. Rejoignez-les !
Démocratie participativeLe Creusot a une longue tradition de démocratie participative à travers différentes instances de concertation et d'information.
Live FacebookPlusieurs fois par an, vous pouvez dialoguer en direct avec le Maire et poser vos questions.
Budget participatifAvec le budget participatif, les habitants disposent des clés d'une partie du budget d'investissement de la Ville !
Conseil d’habitantsLe Creusot compte 5 conseils d’habitants dont les premiers ont été instaurés dès 2001, soit bien avant que la loi les rende obligatoires.
Réunions de Quartiers13 réunions de quartier sont organisées chaque année dans les 13 quartiers de la ville.
Lors de ces rencontres, élus et habitants se retrouvent pour dialoguer et échanger.
Tranquillité publiqueAu Creusot, la politique de tranquillité publique se décline en 2 grands axes : la sécurité publique d'une part et la médiation / prévention d'autre part.
Police municipalePlacée sous l’autorité du Maire, elle intervient en complémentarité de la Police Nationale pour effectuer des missions de prévention, de surveillance du bon ordre, de la tranquillité, de la sécurité et de la salubrité publiques.
MédiationPour assurer la tranquillité publique, Le Creusot s’appuie aussi sur son service médiation.
CISPDLe CISPD ou Conseil Intercommunal Sécurité et Prévention de la Délinquance regroupe différents professionnels (Education nationale, services des villes, du Département, de l’Etat).
Réseau VIFLa Ville du Creusot porte une attention toute particulière à la lutte contre les violences intra familiales. Dans ce cadre, elle a créé le premier réseau VIF du Département.
Aide juridiquePlusieurs structures existent pour vous aider à régler à l’amiable certains conflits.
Enfance (3-12 ans)Le Creusot a fait depuis de nombreuses années de l’éducation une grande priorité. Permettre aux enfants de s’épanouir, de s’éveiller, garantir une égalité des chances dans leur scolarité et offrir des conditions d’apprentissages optimales sont des objectifs pour lesquels elle travaille au quotidien.
Accompagnement enfants/parentsDifférentes structures interviennent pour accompagner, informer, soutenir les parents ou leur proposer des temps d’activités avec leurs enfants.
Vie étudianteLe Campus sud Bourgogne, composé de 5 établissements d’enseignements supérieur établis sur Le Creusot et Montceau Les Mines fait partie des 4 principaux pôles universitaires de Bourgogne-Franche-Comté.
Le campus Sud Bourgogne2ème campus de Bourgogne, le Campus Sud Bourgogne offre avec ses équipements et son cadre de vie, les avantages d'un campus à taille humaine.
Bibliothèque universitaireInstallée dans une ancienne halle industrielle, la Bibliothèque universitaire du campus du Creusot est ouverte à tous.
SeniorsLe service seniors situé au rez-de-chaussée des Arcades vous accueille du lundi au vendredi de 8h à 17h30 (sauf vendredi 17h) pour vous renseigner sur les activités, les droits et démarches qui concernent les seniors ou pour faire le lien avec les différents partenaires.
Le Creusot est "ville aidante Alzheimer" et fait aussi partie du réseau "Villes Amies des aînés".
Les animationsLe service seniors organise tout au long de l’année des animations ou ateliers pour permettre aux retraités de rester actifs et de maintenir un lien social.
AidesPour bien vieillir, différentes aides existent et nous vous proposons d'en prendre connaissance.
EHPADDe nombreux dispositifs existent pour favoriser le maintien à domicile. Lorsque la perte d’autonomie est trop importante, des structures prennent le relais.
Solidarité / SantéDes structures pour vous accompagner en cas de difficultés.
CCASLe Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) est un service d’accueil, d’orientation et d’aide en direction de tous les Creusotins pouvant rencontrer des difficultés.
Épicerie socialeL’épicerie sociale propose à ses usagers des produits d’alimentation et d’hygiène à bas prix.
Centre social l’escaleLe Centre Social l’ESCALE est un lieu d’accueil, d’écoute, de parole, d’animation et d’initiatives des habitants.
SantéDepuis plusieurs années, la Ville du Creusot se mobilise aux côtés des praticiens de ville et des institutions pour proposer une offre de soins des plus complètes.
Patrimoine / TourismeSituée en plein cœur de la Bourgogne, Le Creusot jouit d’un cadre de vie des plus agréables. Mais Le Creusot est aussi une ville chargée d’histoire.
Office de tourismeDécouvrez la richesse du patrimoine de notre bassin, en poussant les portes du bureau de l'Office de Tourisme situé à l'entrée du Château de la Verrerie.
Parcs et jardinsLe Creusot est une ville verte qui offre de nombreux espaces pour se ressourcer et s’aérer. La nature est à portée de main avec plusieurs grands parcs en plein coeur de la ville.
Château de la VerrerieMonument incontournable du patrimoine historique du Creusot, le Château de la Verrerie abrite le Musée de l’Homme et de l’Industrie, le Pavillon de l’Industrie, le Petit Théâtre.
Locomotive 241P17Embarquez à bord de la 241P17, pour une balade touristique !
Atelier des grues et locosConsidéré comme le plus ancien bâtiment industriel du site du Creusot, l’atelier des grues et locos a été transformé en bibliothèque universitaire.
Base nautique de TorcyPlusieurs plans d’eau existent aux portes du Creusot et offrent d’agréables lieux de promenade, de pêche ou de détente.
Ville sportiveAu Creusot, la pratique du sport est très développée. On ne compte pas moins de 50 clubs sportifs et 7000 licenciés.
Les parcours sportifsEn 2016, suite à une proposition des Conseils d’Habitants, une station fitness et un parcours santé ont été aménagés dans le parc de la Verrerie.
Les animations sportivesLe Creusot favorise la pratique du sport quelque soit son âge, son niveau et ses revenus.
Le Complexe Aquatique du ParcEntièrement rénové en 2018 pour offrir des prestations de qualité, le Complexe Aquatique du Parc vous accueille dans le cadre privilégié du parc de la Verrerie...
Urbanisme et cadastreLe service urbanisme vous accueille dans ses bureaux situés au Centre technique Municipal, 63 rue Anatole France pour vos démarches d’urbanisme ou pour vous permettre de consulter le cadastre.
Espaces vertsEtendu et vallonné, Le Creusot est doté de nombreux espaces verts.
Assurance maladie d’un Français vivant à l’étranger
Vous voulez connaître vos droits à l’assurance maladie en cas d’installation à l’étranger ? Ils dépendent du pays de résidence (pays de l’Espace économique européen – EEE ou Suisse ou autre pays) et de votre statut (salarié, étudiant, retraité,…). Nous vous présentons les informations à connaître.
Si vous vous installez dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse pour y travailler, vous n’êtes plus assuré au régime français. Vous êtes couvert par la sécurité sociale de votre pays d’installation, auprès de laquelle vous devez cotiser. Vous bénéficiez des prestations d’assurance maladie prévues par ce pays.
Avant votre départ de France, vous devez vous renseigner pour savoir si une période minimum d’assurance, d’activité ou de résidence est exigée dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits. Si c’est le cas, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie française le formulaire E104 (attestation concernant la totalisation des périodes d’assurance, d’emploi ou de résidence). Il faudra le remettre à votre institution d’assurance maladie dans votre pays d’installation.
Ce formulaire récapitule vos périodes d’assurance accomplies en France. Ces périodes sont prises en compte dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits aux prestations d’assurance maladie.
Les membres de votre famille sont également couverts par la sécurité sociale de votre pays d’accueil, qu’ils y résident ou pas. S’ils continuent à résider en France, vous devez demander le document S1 (attestation pour l’inscription des membres de la famille du travailleur salarié ou non-salarié) à votre institution étrangère d’affiliation. Votre famille doit ensuite remettre ce document à sa caisse d’assurance maladie en France, afin d’être enregistrée.
Vous pouvez cependant choisir de continuer à bénéficier du régime français en adhérant à la Caisse des Français de l’étranger (CFE) . Vous évitez ainsi les délais de carence ou les trimestres perdus pour votre retraite, lors de votre retour en France. L’adhésion à la CFE s’ajoute à la cotisation au régime obligatoire du pays d’expatriation.
Si vous êtes détaché temporairement (24 mois maximum sauf dérogation) par votre employeur dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes un travailleur indépendant effectuant une mission temporaire (24 mois maximum sauf dérogation) dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, vous devez vous adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, elle doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie)
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes envoyé par votre administration dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf)
À la Mutualité Sociale Agricole si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 à votre caisse d’assurance maladie en France.
Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation. Ce formulaire permet l’inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie.
Si vous partez étudier dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse mais que vous conservez votre résidence habituelle en France, vous restez affilié à la sécurité sociale française.
Cette carte vous permettra de prouver vos droits à l’assurance maladie et de bénéficier d’une prise en charge sur place de vos soins médicaux.
Si vous transférez votre résidence dans l’Etat de vos études, vous ne serez plus affilié en France. Vous devrez demander à l’organisme d’assurance maladie de votre pays d’études les conditions d’adhésion au régime local de sécurité sociale. Vous devrez peut-être souscrire une assurance privée pour couvrir vos frais de santé.
Si vous êtes indemnisé en France et autorisé à transférer votre résidence dans l’EEE ou en Suisse pour 3 mois (exceptionnellement 6 mois), vous restez affilié pendant cette période à la sécurité sociale française.
Avant votre départ, vous devez demander la carte européenne d’assurance maladie à votre caisse d’assurance maladie. Vous devez la présenter en cas de soins médicaux dans votre nouveau pays de résidence.
Si vous êtes pensionné du régime français et que vous partez vivre dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous pouvez y transférer vos droits à l’assurance maladie. Vous ne devez pas percevoir de pension de votre pays d’installation vous ouvrant droit aux soins de santé.
Avant votre départ de France, vous devez demander à votre caisse de retraite le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois sur place, vous devez remettre ce document à l’organisme de sécurité sociale compétent dans votre pays d’installation. Vous bénéficierez de la prise en charge de vos soins médicaux selon la législation et les formalités en vigueur dans ce pays.
Vous pourrez revenir en France pour vous faire soigner. Tous vos soins seront pris en charge selon la législation française.
Si vous souhaitez faire un séjour hors de France ou hors de votre nouveau pays d’installation, vous devrez vous munir de la carte européenne d’assurance maladie. Demandez-la avant votre départ de France à votre caisse d’assurance maladie.
À savoir
vous n’êtes pas obligé de rendre votre carte Vitale lors de votre départ. Cela vous permettra d’être pris en charge lors de vos séjours en France.
Si vous êtes détaché
Pendant votre séjour à l’étranger, vous continuez à bénéficier du régime français de sécurité sociale pour l’ensemble des risques. Selon le pays de détachement, vous pouvez éventuellement bénéficier d’une prise en charge des soins médicaux avec dispense d’avance des frais.
Conditions de prise en charge du salarié détaché
Risques soumis à cotisation
Organisme
Maladie, maternité, invalidité, accidents du travail, maladies professionnelles
Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM)
Retraite de base
Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav)
Retraite complémentaire
Agirc – Arrco
Assurance chômage
France Travail (anciennement Pôle emploi)
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf) ou de la Mutualité Sociale Agricole, si vous relevez du régime agricole dans le cadre d’accords internationaux ou bilatéraux de sécurité sociale. Travail à l’étranger : le service Mobilité internationale
Si un tel accord existe et que les conditions du détachement sont remplies dont la durée de la mission, les cotisations sociales ne seront versées qu’en France.
En l’absence d’accord bilatéral de sécurité sociale, votre employeur peut demander votre maintien au régime français dans le cadre du droit national. Dans ce cas, l’employeur devra s’acquitter des cotisations en France et dans le pays d’affectation.
L’employeur vous fournit l’attestation de détachement communiquée par le CNG.
À votre retour en France, vous et votre famille bénéficiez de l’ensemble des prestations, comme si vous étiez demeurés en France.
Attention
le maintien au régime français de sécurité sociale ne vous exonère pas, dans certains pays, de cotiser aussi au régime local de sécurité sociale pour certains risques.
Pour demander le remboursement de soins, (si vous ne l’avez pas demandé dans le pays de détachement lorsque c’est possible), vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement. Vous devez les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes expatrié à l’étranger, vous cessez de dépendre de la sécurité sociale française. Vous relevez obligatoirement du régime de protection sociale du pays dans lequel vous travaillez. Vos droits dépendent de l’existence ou non d’une convention bilatérale de sécurité sociale entre la France et ce pays ,
Vous devez restituer votre carte vitale, qui n’est utilisable que si vous résidez et êtes assuré en France.
Vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation. Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez néanmoins continuer à bénéficier de la sécurité sociale française en adhérant à des assurances volontaires.
Vous pouvez adhérer auprès de la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour les assurances maladie-maternité-invalidité, accidents du travail et maladies professionnelles et vieillesse (retraite de base).
Vous pouvez vous assurer contre un ou plusieurs de ces risques en fonction de votre situation familiale et des particularités du régime local de sécurité sociale.
Sous certaines conditions, vous pouvez également cotiser (individuellement ou par le biais de votre entreprise) :
pour votre retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE) si vous êtes non-cadre ou de l’Ircafex (retraite des cadres et assimilés) si vous êtes cadre,
pour votre assurance chômage, auprès du Service expatriés de France Travail (anciennement Pôle emploi).
L’adhésion aux assurances volontaires ne vous empêche pas de cotiser au régime obligatoire de votre pays d’expatriation. Même si vous adhérez aux assurances volontaires, vous pouvez bénéficier de la convention bilatérale existant entre la France et votre pays d’expatriation, si elle existe.
Si vous êtes fonctionnaire
Si vous êtes envoyé par votre administration auprès d’une ambassade, d’un consulat ou de tout autre organisme officiel, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (URSSAF).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie) à votre caisse d’assurance maladie en France. Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous n’êtes plus pris en charge par l’assurance maladie française. Renseignez-vous sur les possibilités ou l’obligation de vous assurer auprès du régime local de sécurité sociale.
Vous ne serez pas indemnisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Pour bénéficier du chômage, il faut vivre en France et il faut être en recherche effective d’emploi.
Si votre pays d’expatriation est lié à la France par une convention de sécurité sociale, vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation.
Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez choisir un créneau depuis votre compte ameli pour prendre un rendez-vous téléphonique le jour et l’heure qui vous convient. Vous allez dans la rubrique Mon agenda puis sélectionnez Prendre un rendez-vous .
Le jour du rendez-vous, un conseiller de l’Assurance maladie vous appelle à l’heure fixée sur le numéro de téléphone renseigné dans votre compte ameli pour faire le point sur votre dossier. Vérifiez les coordonnées indiquées dans votre compte avant de prendre rendez-vous.
Assurance maladie d’un Français vivant à l’étranger
Vous voulez connaître vos droits à l’assurance maladie en cas d’installation à l’étranger ? Ils dépendent du pays de résidence (pays de l’Espace économique européen – EEE ou Suisse ou autre pays) et de votre statut (salarié, étudiant, retraité,…). Nous vous présentons les informations à connaître.
Si vous vous installez dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse pour y travailler, vous n’êtes plus assuré au régime français. Vous êtes couvert par la sécurité sociale de votre pays d’installation, auprès de laquelle vous devez cotiser. Vous bénéficiez des prestations d’assurance maladie prévues par ce pays.
Avant votre départ de France, vous devez vous renseigner pour savoir si une période minimum d’assurance, d’activité ou de résidence est exigée dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits. Si c’est le cas, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie française le formulaire E104 (attestation concernant la totalisation des périodes d’assurance, d’emploi ou de résidence). Il faudra le remettre à votre institution d’assurance maladie dans votre pays d’installation.
Ce formulaire récapitule vos périodes d’assurance accomplies en France. Ces périodes sont prises en compte dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits aux prestations d’assurance maladie.
Les membres de votre famille sont également couverts par la sécurité sociale de votre pays d’accueil, qu’ils y résident ou pas. S’ils continuent à résider en France, vous devez demander le document S1 (attestation pour l’inscription des membres de la famille du travailleur salarié ou non-salarié) à votre institution étrangère d’affiliation. Votre famille doit ensuite remettre ce document à sa caisse d’assurance maladie en France, afin d’être enregistrée.
Vous pouvez cependant choisir de continuer à bénéficier du régime français en adhérant à la Caisse des Français de l’étranger (CFE) . Vous évitez ainsi les délais de carence ou les trimestres perdus pour votre retraite, lors de votre retour en France. L’adhésion à la CFE s’ajoute à la cotisation au régime obligatoire du pays d’expatriation.
Si vous êtes détaché temporairement (24 mois maximum sauf dérogation) par votre employeur dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes un travailleur indépendant effectuant une mission temporaire (24 mois maximum sauf dérogation) dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, vous devez vous adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, elle doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie)
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes envoyé par votre administration dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf)
À la Mutualité Sociale Agricole si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 à votre caisse d’assurance maladie en France.
Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation. Ce formulaire permet l’inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie.
Si vous partez étudier dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse mais que vous conservez votre résidence habituelle en France, vous restez affilié à la sécurité sociale française.
Cette carte vous permettra de prouver vos droits à l’assurance maladie et de bénéficier d’une prise en charge sur place de vos soins médicaux.
Si vous transférez votre résidence dans l’Etat de vos études, vous ne serez plus affilié en France. Vous devrez demander à l’organisme d’assurance maladie de votre pays d’études les conditions d’adhésion au régime local de sécurité sociale. Vous devrez peut-être souscrire une assurance privée pour couvrir vos frais de santé.
Si vous êtes indemnisé en France et autorisé à transférer votre résidence dans l’EEE ou en Suisse pour 3 mois (exceptionnellement 6 mois), vous restez affilié pendant cette période à la sécurité sociale française.
Avant votre départ, vous devez demander la carte européenne d’assurance maladie à votre caisse d’assurance maladie. Vous devez la présenter en cas de soins médicaux dans votre nouveau pays de résidence.
Si vous êtes pensionné du régime français et que vous partez vivre dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous pouvez y transférer vos droits à l’assurance maladie. Vous ne devez pas percevoir de pension de votre pays d’installation vous ouvrant droit aux soins de santé.
Avant votre départ de France, vous devez demander à votre caisse de retraite le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois sur place, vous devez remettre ce document à l’organisme de sécurité sociale compétent dans votre pays d’installation. Vous bénéficierez de la prise en charge de vos soins médicaux selon la législation et les formalités en vigueur dans ce pays.
Vous pourrez revenir en France pour vous faire soigner. Tous vos soins seront pris en charge selon la législation française.
Si vous souhaitez faire un séjour hors de France ou hors de votre nouveau pays d’installation, vous devrez vous munir de la carte européenne d’assurance maladie. Demandez-la avant votre départ de France à votre caisse d’assurance maladie.
À savoir
vous n’êtes pas obligé de rendre votre carte Vitale lors de votre départ. Cela vous permettra d’être pris en charge lors de vos séjours en France.
Si vous êtes détaché
Pendant votre séjour à l’étranger, vous continuez à bénéficier du régime français de sécurité sociale pour l’ensemble des risques. Selon le pays de détachement, vous pouvez éventuellement bénéficier d’une prise en charge des soins médicaux avec dispense d’avance des frais.
Conditions de prise en charge du salarié détaché
Risques soumis à cotisation
Organisme
Maladie, maternité, invalidité, accidents du travail, maladies professionnelles
Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM)
Retraite de base
Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav)
Retraite complémentaire
Agirc – Arrco
Assurance chômage
France Travail (anciennement Pôle emploi)
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf) ou de la Mutualité Sociale Agricole, si vous relevez du régime agricole dans le cadre d’accords internationaux ou bilatéraux de sécurité sociale. Travail à l’étranger : le service Mobilité internationale
Si un tel accord existe et que les conditions du détachement sont remplies dont la durée de la mission, les cotisations sociales ne seront versées qu’en France.
En l’absence d’accord bilatéral de sécurité sociale, votre employeur peut demander votre maintien au régime français dans le cadre du droit national. Dans ce cas, l’employeur devra s’acquitter des cotisations en France et dans le pays d’affectation.
L’employeur vous fournit l’attestation de détachement communiquée par le CNG.
À votre retour en France, vous et votre famille bénéficiez de l’ensemble des prestations, comme si vous étiez demeurés en France.
Attention
le maintien au régime français de sécurité sociale ne vous exonère pas, dans certains pays, de cotiser aussi au régime local de sécurité sociale pour certains risques.
Pour demander le remboursement de soins, (si vous ne l’avez pas demandé dans le pays de détachement lorsque c’est possible), vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement. Vous devez les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes expatrié à l’étranger, vous cessez de dépendre de la sécurité sociale française. Vous relevez obligatoirement du régime de protection sociale du pays dans lequel vous travaillez. Vos droits dépendent de l’existence ou non d’une convention bilatérale de sécurité sociale entre la France et ce pays ,
Vous devez restituer votre carte vitale, qui n’est utilisable que si vous résidez et êtes assuré en France.
Vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation. Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez néanmoins continuer à bénéficier de la sécurité sociale française en adhérant à des assurances volontaires.
Vous pouvez adhérer auprès de la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour les assurances maladie-maternité-invalidité, accidents du travail et maladies professionnelles et vieillesse (retraite de base).
Vous pouvez vous assurer contre un ou plusieurs de ces risques en fonction de votre situation familiale et des particularités du régime local de sécurité sociale.
Sous certaines conditions, vous pouvez également cotiser (individuellement ou par le biais de votre entreprise) :
pour votre retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE) si vous êtes non-cadre ou de l’Ircafex (retraite des cadres et assimilés) si vous êtes cadre,
pour votre assurance chômage, auprès du Service expatriés de France Travail (anciennement Pôle emploi).
L’adhésion aux assurances volontaires ne vous empêche pas de cotiser au régime obligatoire de votre pays d’expatriation. Même si vous adhérez aux assurances volontaires, vous pouvez bénéficier de la convention bilatérale existant entre la France et votre pays d’expatriation, si elle existe.
Si vous êtes fonctionnaire
Si vous êtes envoyé par votre administration auprès d’une ambassade, d’un consulat ou de tout autre organisme officiel, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (URSSAF).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie) à votre caisse d’assurance maladie en France. Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous n’êtes plus pris en charge par l’assurance maladie française. Renseignez-vous sur les possibilités ou l’obligation de vous assurer auprès du régime local de sécurité sociale.
Vous ne serez pas indemnisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Pour bénéficier du chômage, il faut vivre en France et il faut être en recherche effective d’emploi.
Si votre pays d’expatriation est lié à la France par une convention de sécurité sociale, vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation.
Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez choisir un créneau depuis votre compte ameli pour prendre un rendez-vous téléphonique le jour et l’heure qui vous convient. Vous allez dans la rubrique Mon agenda puis sélectionnez Prendre un rendez-vous .
Le jour du rendez-vous, un conseiller de l’Assurance maladie vous appelle à l’heure fixée sur le numéro de téléphone renseigné dans votre compte ameli pour faire le point sur votre dossier. Vérifiez les coordonnées indiquées dans votre compte avant de prendre rendez-vous.
Assurance maladie d’un Français vivant à l’étranger
Vous voulez connaître vos droits à l’assurance maladie en cas d’installation à l’étranger ? Ils dépendent du pays de résidence (pays de l’Espace économique européen – EEE ou Suisse ou autre pays) et de votre statut (salarié, étudiant, retraité,…). Nous vous présentons les informations à connaître.
Si vous vous installez dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse pour y travailler, vous n’êtes plus assuré au régime français. Vous êtes couvert par la sécurité sociale de votre pays d’installation, auprès de laquelle vous devez cotiser. Vous bénéficiez des prestations d’assurance maladie prévues par ce pays.
Avant votre départ de France, vous devez vous renseigner pour savoir si une période minimum d’assurance, d’activité ou de résidence est exigée dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits. Si c’est le cas, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie française le formulaire E104 (attestation concernant la totalisation des périodes d’assurance, d’emploi ou de résidence). Il faudra le remettre à votre institution d’assurance maladie dans votre pays d’installation.
Ce formulaire récapitule vos périodes d’assurance accomplies en France. Ces périodes sont prises en compte dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits aux prestations d’assurance maladie.
Les membres de votre famille sont également couverts par la sécurité sociale de votre pays d’accueil, qu’ils y résident ou pas. S’ils continuent à résider en France, vous devez demander le document S1 (attestation pour l’inscription des membres de la famille du travailleur salarié ou non-salarié) à votre institution étrangère d’affiliation. Votre famille doit ensuite remettre ce document à sa caisse d’assurance maladie en France, afin d’être enregistrée.
Vous pouvez cependant choisir de continuer à bénéficier du régime français en adhérant à la Caisse des Français de l’étranger (CFE) . Vous évitez ainsi les délais de carence ou les trimestres perdus pour votre retraite, lors de votre retour en France. L’adhésion à la CFE s’ajoute à la cotisation au régime obligatoire du pays d’expatriation.
Si vous êtes détaché temporairement (24 mois maximum sauf dérogation) par votre employeur dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes un travailleur indépendant effectuant une mission temporaire (24 mois maximum sauf dérogation) dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, vous devez vous adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, elle doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie)
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes envoyé par votre administration dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf)
À la Mutualité Sociale Agricole si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 à votre caisse d’assurance maladie en France.
Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation. Ce formulaire permet l’inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie.
Si vous partez étudier dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse mais que vous conservez votre résidence habituelle en France, vous restez affilié à la sécurité sociale française.
Cette carte vous permettra de prouver vos droits à l’assurance maladie et de bénéficier d’une prise en charge sur place de vos soins médicaux.
Si vous transférez votre résidence dans l’Etat de vos études, vous ne serez plus affilié en France. Vous devrez demander à l’organisme d’assurance maladie de votre pays d’études les conditions d’adhésion au régime local de sécurité sociale. Vous devrez peut-être souscrire une assurance privée pour couvrir vos frais de santé.
Si vous êtes indemnisé en France et autorisé à transférer votre résidence dans l’EEE ou en Suisse pour 3 mois (exceptionnellement 6 mois), vous restez affilié pendant cette période à la sécurité sociale française.
Avant votre départ, vous devez demander la carte européenne d’assurance maladie à votre caisse d’assurance maladie. Vous devez la présenter en cas de soins médicaux dans votre nouveau pays de résidence.
Si vous êtes pensionné du régime français et que vous partez vivre dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous pouvez y transférer vos droits à l’assurance maladie. Vous ne devez pas percevoir de pension de votre pays d’installation vous ouvrant droit aux soins de santé.
Avant votre départ de France, vous devez demander à votre caisse de retraite le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois sur place, vous devez remettre ce document à l’organisme de sécurité sociale compétent dans votre pays d’installation. Vous bénéficierez de la prise en charge de vos soins médicaux selon la législation et les formalités en vigueur dans ce pays.
Vous pourrez revenir en France pour vous faire soigner. Tous vos soins seront pris en charge selon la législation française.
Si vous souhaitez faire un séjour hors de France ou hors de votre nouveau pays d’installation, vous devrez vous munir de la carte européenne d’assurance maladie. Demandez-la avant votre départ de France à votre caisse d’assurance maladie.
À savoir
vous n’êtes pas obligé de rendre votre carte Vitale lors de votre départ. Cela vous permettra d’être pris en charge lors de vos séjours en France.
Si vous êtes détaché
Pendant votre séjour à l’étranger, vous continuez à bénéficier du régime français de sécurité sociale pour l’ensemble des risques. Selon le pays de détachement, vous pouvez éventuellement bénéficier d’une prise en charge des soins médicaux avec dispense d’avance des frais.
Conditions de prise en charge du salarié détaché
Risques soumis à cotisation
Organisme
Maladie, maternité, invalidité, accidents du travail, maladies professionnelles
Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM)
Retraite de base
Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav)
Retraite complémentaire
Agirc – Arrco
Assurance chômage
France Travail (anciennement Pôle emploi)
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf) ou de la Mutualité Sociale Agricole, si vous relevez du régime agricole dans le cadre d’accords internationaux ou bilatéraux de sécurité sociale. Travail à l’étranger : le service Mobilité internationale
Si un tel accord existe et que les conditions du détachement sont remplies dont la durée de la mission, les cotisations sociales ne seront versées qu’en France.
En l’absence d’accord bilatéral de sécurité sociale, votre employeur peut demander votre maintien au régime français dans le cadre du droit national. Dans ce cas, l’employeur devra s’acquitter des cotisations en France et dans le pays d’affectation.
L’employeur vous fournit l’attestation de détachement communiquée par le CNG.
À votre retour en France, vous et votre famille bénéficiez de l’ensemble des prestations, comme si vous étiez demeurés en France.
Attention
le maintien au régime français de sécurité sociale ne vous exonère pas, dans certains pays, de cotiser aussi au régime local de sécurité sociale pour certains risques.
Pour demander le remboursement de soins, (si vous ne l’avez pas demandé dans le pays de détachement lorsque c’est possible), vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement. Vous devez les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes expatrié à l’étranger, vous cessez de dépendre de la sécurité sociale française. Vous relevez obligatoirement du régime de protection sociale du pays dans lequel vous travaillez. Vos droits dépendent de l’existence ou non d’une convention bilatérale de sécurité sociale entre la France et ce pays ,
Vous devez restituer votre carte vitale, qui n’est utilisable que si vous résidez et êtes assuré en France.
Vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation. Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez néanmoins continuer à bénéficier de la sécurité sociale française en adhérant à des assurances volontaires.
Vous pouvez adhérer auprès de la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour les assurances maladie-maternité-invalidité, accidents du travail et maladies professionnelles et vieillesse (retraite de base).
Vous pouvez vous assurer contre un ou plusieurs de ces risques en fonction de votre situation familiale et des particularités du régime local de sécurité sociale.
Sous certaines conditions, vous pouvez également cotiser (individuellement ou par le biais de votre entreprise) :
pour votre retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE) si vous êtes non-cadre ou de l’Ircafex (retraite des cadres et assimilés) si vous êtes cadre,
pour votre assurance chômage, auprès du Service expatriés de France Travail (anciennement Pôle emploi).
L’adhésion aux assurances volontaires ne vous empêche pas de cotiser au régime obligatoire de votre pays d’expatriation. Même si vous adhérez aux assurances volontaires, vous pouvez bénéficier de la convention bilatérale existant entre la France et votre pays d’expatriation, si elle existe.
Si vous êtes fonctionnaire
Si vous êtes envoyé par votre administration auprès d’une ambassade, d’un consulat ou de tout autre organisme officiel, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (URSSAF).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie) à votre caisse d’assurance maladie en France. Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous n’êtes plus pris en charge par l’assurance maladie française. Renseignez-vous sur les possibilités ou l’obligation de vous assurer auprès du régime local de sécurité sociale.
Vous ne serez pas indemnisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Pour bénéficier du chômage, il faut vivre en France et il faut être en recherche effective d’emploi.
Si votre pays d’expatriation est lié à la France par une convention de sécurité sociale, vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation.
Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez choisir un créneau depuis votre compte ameli pour prendre un rendez-vous téléphonique le jour et l’heure qui vous convient. Vous allez dans la rubrique Mon agenda puis sélectionnez Prendre un rendez-vous .
Le jour du rendez-vous, un conseiller de l’Assurance maladie vous appelle à l’heure fixée sur le numéro de téléphone renseigné dans votre compte ameli pour faire le point sur votre dossier. Vérifiez les coordonnées indiquées dans votre compte avant de prendre rendez-vous.
Assurance maladie d’un Français vivant à l’étranger
Vous voulez connaître vos droits à l’assurance maladie en cas d’installation à l’étranger ? Ils dépendent du pays de résidence (pays de l’Espace économique européen – EEE ou Suisse ou autre pays) et de votre statut (salarié, étudiant, retraité,…). Nous vous présentons les informations à connaître.
Si vous vous installez dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse pour y travailler, vous n’êtes plus assuré au régime français. Vous êtes couvert par la sécurité sociale de votre pays d’installation, auprès de laquelle vous devez cotiser. Vous bénéficiez des prestations d’assurance maladie prévues par ce pays.
Avant votre départ de France, vous devez vous renseigner pour savoir si une période minimum d’assurance, d’activité ou de résidence est exigée dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits. Si c’est le cas, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie française le formulaire E104 (attestation concernant la totalisation des périodes d’assurance, d’emploi ou de résidence). Il faudra le remettre à votre institution d’assurance maladie dans votre pays d’installation.
Ce formulaire récapitule vos périodes d’assurance accomplies en France. Ces périodes sont prises en compte dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits aux prestations d’assurance maladie.
Les membres de votre famille sont également couverts par la sécurité sociale de votre pays d’accueil, qu’ils y résident ou pas. S’ils continuent à résider en France, vous devez demander le document S1 (attestation pour l’inscription des membres de la famille du travailleur salarié ou non-salarié) à votre institution étrangère d’affiliation. Votre famille doit ensuite remettre ce document à sa caisse d’assurance maladie en France, afin d’être enregistrée.
Vous pouvez cependant choisir de continuer à bénéficier du régime français en adhérant à la Caisse des Français de l’étranger (CFE) . Vous évitez ainsi les délais de carence ou les trimestres perdus pour votre retraite, lors de votre retour en France. L’adhésion à la CFE s’ajoute à la cotisation au régime obligatoire du pays d’expatriation.
Si vous êtes détaché temporairement (24 mois maximum sauf dérogation) par votre employeur dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes un travailleur indépendant effectuant une mission temporaire (24 mois maximum sauf dérogation) dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, vous devez vous adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, elle doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie)
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes envoyé par votre administration dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf)
À la Mutualité Sociale Agricole si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 à votre caisse d’assurance maladie en France.
Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation. Ce formulaire permet l’inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie.
Si vous partez étudier dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse mais que vous conservez votre résidence habituelle en France, vous restez affilié à la sécurité sociale française.
Cette carte vous permettra de prouver vos droits à l’assurance maladie et de bénéficier d’une prise en charge sur place de vos soins médicaux.
Si vous transférez votre résidence dans l’Etat de vos études, vous ne serez plus affilié en France. Vous devrez demander à l’organisme d’assurance maladie de votre pays d’études les conditions d’adhésion au régime local de sécurité sociale. Vous devrez peut-être souscrire une assurance privée pour couvrir vos frais de santé.
Si vous êtes indemnisé en France et autorisé à transférer votre résidence dans l’EEE ou en Suisse pour 3 mois (exceptionnellement 6 mois), vous restez affilié pendant cette période à la sécurité sociale française.
Avant votre départ, vous devez demander la carte européenne d’assurance maladie à votre caisse d’assurance maladie. Vous devez la présenter en cas de soins médicaux dans votre nouveau pays de résidence.
Si vous êtes pensionné du régime français et que vous partez vivre dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous pouvez y transférer vos droits à l’assurance maladie. Vous ne devez pas percevoir de pension de votre pays d’installation vous ouvrant droit aux soins de santé.
Avant votre départ de France, vous devez demander à votre caisse de retraite le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois sur place, vous devez remettre ce document à l’organisme de sécurité sociale compétent dans votre pays d’installation. Vous bénéficierez de la prise en charge de vos soins médicaux selon la législation et les formalités en vigueur dans ce pays.
Vous pourrez revenir en France pour vous faire soigner. Tous vos soins seront pris en charge selon la législation française.
Si vous souhaitez faire un séjour hors de France ou hors de votre nouveau pays d’installation, vous devrez vous munir de la carte européenne d’assurance maladie. Demandez-la avant votre départ de France à votre caisse d’assurance maladie.
À savoir
vous n’êtes pas obligé de rendre votre carte Vitale lors de votre départ. Cela vous permettra d’être pris en charge lors de vos séjours en France.
Si vous êtes détaché
Pendant votre séjour à l’étranger, vous continuez à bénéficier du régime français de sécurité sociale pour l’ensemble des risques. Selon le pays de détachement, vous pouvez éventuellement bénéficier d’une prise en charge des soins médicaux avec dispense d’avance des frais.
Conditions de prise en charge du salarié détaché
Risques soumis à cotisation
Organisme
Maladie, maternité, invalidité, accidents du travail, maladies professionnelles
Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM)
Retraite de base
Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav)
Retraite complémentaire
Agirc – Arrco
Assurance chômage
France Travail (anciennement Pôle emploi)
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf) ou de la Mutualité Sociale Agricole, si vous relevez du régime agricole dans le cadre d’accords internationaux ou bilatéraux de sécurité sociale. Travail à l’étranger : le service Mobilité internationale
Si un tel accord existe et que les conditions du détachement sont remplies dont la durée de la mission, les cotisations sociales ne seront versées qu’en France.
En l’absence d’accord bilatéral de sécurité sociale, votre employeur peut demander votre maintien au régime français dans le cadre du droit national. Dans ce cas, l’employeur devra s’acquitter des cotisations en France et dans le pays d’affectation.
L’employeur vous fournit l’attestation de détachement communiquée par le CNG.
À votre retour en France, vous et votre famille bénéficiez de l’ensemble des prestations, comme si vous étiez demeurés en France.
Attention
le maintien au régime français de sécurité sociale ne vous exonère pas, dans certains pays, de cotiser aussi au régime local de sécurité sociale pour certains risques.
Pour demander le remboursement de soins, (si vous ne l’avez pas demandé dans le pays de détachement lorsque c’est possible), vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement. Vous devez les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes expatrié à l’étranger, vous cessez de dépendre de la sécurité sociale française. Vous relevez obligatoirement du régime de protection sociale du pays dans lequel vous travaillez. Vos droits dépendent de l’existence ou non d’une convention bilatérale de sécurité sociale entre la France et ce pays ,
Vous devez restituer votre carte vitale, qui n’est utilisable que si vous résidez et êtes assuré en France.
Vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation. Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez néanmoins continuer à bénéficier de la sécurité sociale française en adhérant à des assurances volontaires.
Vous pouvez adhérer auprès de la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour les assurances maladie-maternité-invalidité, accidents du travail et maladies professionnelles et vieillesse (retraite de base).
Vous pouvez vous assurer contre un ou plusieurs de ces risques en fonction de votre situation familiale et des particularités du régime local de sécurité sociale.
Sous certaines conditions, vous pouvez également cotiser (individuellement ou par le biais de votre entreprise) :
pour votre retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE) si vous êtes non-cadre ou de l’Ircafex (retraite des cadres et assimilés) si vous êtes cadre,
pour votre assurance chômage, auprès du Service expatriés de France Travail (anciennement Pôle emploi).
L’adhésion aux assurances volontaires ne vous empêche pas de cotiser au régime obligatoire de votre pays d’expatriation. Même si vous adhérez aux assurances volontaires, vous pouvez bénéficier de la convention bilatérale existant entre la France et votre pays d’expatriation, si elle existe.
Si vous êtes fonctionnaire
Si vous êtes envoyé par votre administration auprès d’une ambassade, d’un consulat ou de tout autre organisme officiel, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (URSSAF).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie) à votre caisse d’assurance maladie en France. Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous n’êtes plus pris en charge par l’assurance maladie française. Renseignez-vous sur les possibilités ou l’obligation de vous assurer auprès du régime local de sécurité sociale.
Vous ne serez pas indemnisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Pour bénéficier du chômage, il faut vivre en France et il faut être en recherche effective d’emploi.
Si votre pays d’expatriation est lié à la France par une convention de sécurité sociale, vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation.
Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez choisir un créneau depuis votre compte ameli pour prendre un rendez-vous téléphonique le jour et l’heure qui vous convient. Vous allez dans la rubrique Mon agenda puis sélectionnez Prendre un rendez-vous .
Le jour du rendez-vous, un conseiller de l’Assurance maladie vous appelle à l’heure fixée sur le numéro de téléphone renseigné dans votre compte ameli pour faire le point sur votre dossier. Vérifiez les coordonnées indiquées dans votre compte avant de prendre rendez-vous.
Assurance maladie d’un Français vivant à l’étranger
Vous voulez connaître vos droits à l’assurance maladie en cas d’installation à l’étranger ? Ils dépendent du pays de résidence (pays de l’Espace économique européen – EEE ou Suisse ou autre pays) et de votre statut (salarié, étudiant, retraité,…). Nous vous présentons les informations à connaître.
Si vous vous installez dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse pour y travailler, vous n’êtes plus assuré au régime français. Vous êtes couvert par la sécurité sociale de votre pays d’installation, auprès de laquelle vous devez cotiser. Vous bénéficiez des prestations d’assurance maladie prévues par ce pays.
Avant votre départ de France, vous devez vous renseigner pour savoir si une période minimum d’assurance, d’activité ou de résidence est exigée dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits. Si c’est le cas, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie française le formulaire E104 (attestation concernant la totalisation des périodes d’assurance, d’emploi ou de résidence). Il faudra le remettre à votre institution d’assurance maladie dans votre pays d’installation.
Ce formulaire récapitule vos périodes d’assurance accomplies en France. Ces périodes sont prises en compte dans votre pays d’installation pour l’ouverture de vos droits aux prestations d’assurance maladie.
Les membres de votre famille sont également couverts par la sécurité sociale de votre pays d’accueil, qu’ils y résident ou pas. S’ils continuent à résider en France, vous devez demander le document S1 (attestation pour l’inscription des membres de la famille du travailleur salarié ou non-salarié) à votre institution étrangère d’affiliation. Votre famille doit ensuite remettre ce document à sa caisse d’assurance maladie en France, afin d’être enregistrée.
Vous pouvez cependant choisir de continuer à bénéficier du régime français en adhérant à la Caisse des Français de l’étranger (CFE) . Vous évitez ainsi les délais de carence ou les trimestres perdus pour votre retraite, lors de votre retour en France. L’adhésion à la CFE s’ajoute à la cotisation au régime obligatoire du pays d’expatriation.
Si vous êtes détaché temporairement (24 mois maximum sauf dérogation) par votre employeur dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes un travailleur indépendant effectuant une mission temporaire (24 mois maximum sauf dérogation) dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous continuez à bénéficier de la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, vous devez vous adresser soit :
Au Centre national de gestion (CNG) de la mobilité internationale (Ursaff) si vous relevez du régime général
À la Mutualité Sociale Agricole (MSA) si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, elle doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Vous devez aussi effectuer certaines démarches :
Avant votre départ, vous devez demander à votre caisse d’assurance maladie le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie)
Une fois installé, vous devez remettre ce document à l’organisme d’assurance maladie de votre nouveau domicile pour bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux (et éventuellement ceux de votre famille).
À noter
si vous faites de courts séjours dans votre pays de détachement sans y résider, vous pouvez bénéficier de la prise en charge de vos soins médicaux sur place avec votre carte européenne d’assurance maladie (ex-formulaire E111).
Vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement et les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes adhérent au compte Ameli, vous pouvez demander le remboursement de ces soins en ligne.
Si vous êtes envoyé par votre administration dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
Pour obtenir votre maintien à la sécurité sociale française, votre employeur doit s’adresser soit :
Au Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf)
À la Mutualité Sociale Agricole si vous relevez du régime agricole.
Après accord de l’institution concernée, votre employeur doit vous remettre le document A1 (attestation concernant la législation applicable).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 à votre caisse d’assurance maladie en France.
Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation. Ce formulaire permet l’inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie.
Si vous partez étudier dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse mais que vous conservez votre résidence habituelle en France, vous restez affilié à la sécurité sociale française.
Cette carte vous permettra de prouver vos droits à l’assurance maladie et de bénéficier d’une prise en charge sur place de vos soins médicaux.
Si vous transférez votre résidence dans l’Etat de vos études, vous ne serez plus affilié en France. Vous devrez demander à l’organisme d’assurance maladie de votre pays d’études les conditions d’adhésion au régime local de sécurité sociale. Vous devrez peut-être souscrire une assurance privée pour couvrir vos frais de santé.
Si vous êtes indemnisé en France et autorisé à transférer votre résidence dans l’EEE ou en Suisse pour 3 mois (exceptionnellement 6 mois), vous restez affilié pendant cette période à la sécurité sociale française.
Avant votre départ, vous devez demander la carte européenne d’assurance maladie à votre caisse d’assurance maladie. Vous devez la présenter en cas de soins médicaux dans votre nouveau pays de résidence.
Si vous êtes pensionné du régime français et que vous partez vivre dans un pays de l’Espace économique européen (EEE) ou en Suisse, vous pouvez y transférer vos droits à l’assurance maladie. Vous ne devez pas percevoir de pension de votre pays d’installation vous ouvrant droit aux soins de santé.
Avant votre départ de France, vous devez demander à votre caisse de retraite le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie).
Une fois sur place, vous devez remettre ce document à l’organisme de sécurité sociale compétent dans votre pays d’installation. Vous bénéficierez de la prise en charge de vos soins médicaux selon la législation et les formalités en vigueur dans ce pays.
Vous pourrez revenir en France pour vous faire soigner. Tous vos soins seront pris en charge selon la législation française.
Si vous souhaitez faire un séjour hors de France ou hors de votre nouveau pays d’installation, vous devrez vous munir de la carte européenne d’assurance maladie. Demandez-la avant votre départ de France à votre caisse d’assurance maladie.
À savoir
vous n’êtes pas obligé de rendre votre carte Vitale lors de votre départ. Cela vous permettra d’être pris en charge lors de vos séjours en France.
Si vous êtes détaché
Pendant votre séjour à l’étranger, vous continuez à bénéficier du régime français de sécurité sociale pour l’ensemble des risques. Selon le pays de détachement, vous pouvez éventuellement bénéficier d’une prise en charge des soins médicaux avec dispense d’avance des frais.
Conditions de prise en charge du salarié détaché
Risques soumis à cotisation
Organisme
Maladie, maternité, invalidité, accidents du travail, maladies professionnelles
Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM)
Retraite de base
Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav)
Retraite complémentaire
Agirc – Arrco
Assurance chômage
France Travail (anciennement Pôle emploi)
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (Urssaf) ou de la Mutualité Sociale Agricole, si vous relevez du régime agricole dans le cadre d’accords internationaux ou bilatéraux de sécurité sociale. Travail à l’étranger : le service Mobilité internationale
Si un tel accord existe et que les conditions du détachement sont remplies dont la durée de la mission, les cotisations sociales ne seront versées qu’en France.
En l’absence d’accord bilatéral de sécurité sociale, votre employeur peut demander votre maintien au régime français dans le cadre du droit national. Dans ce cas, l’employeur devra s’acquitter des cotisations en France et dans le pays d’affectation.
L’employeur vous fournit l’attestation de détachement communiquée par le CNG.
À votre retour en France, vous et votre famille bénéficiez de l’ensemble des prestations, comme si vous étiez demeurés en France.
Attention
le maintien au régime français de sécurité sociale ne vous exonère pas, dans certains pays, de cotiser aussi au régime local de sécurité sociale pour certains risques.
Pour demander le remboursement de soins, (si vous ne l’avez pas demandé dans le pays de détachement lorsque c’est possible), vous devez conserver les factures et vos justificatifs de paiement. Vous devez les présenter, à votre retour en France, à votre caisse d’assurance maladie, accompagné du formulaire cerfa n°12267.
Si vous êtes expatrié à l’étranger, vous cessez de dépendre de la sécurité sociale française. Vous relevez obligatoirement du régime de protection sociale du pays dans lequel vous travaillez. Vos droits dépendent de l’existence ou non d’une convention bilatérale de sécurité sociale entre la France et ce pays ,
Vous devez restituer votre carte vitale, qui n’est utilisable que si vous résidez et êtes assuré en France.
Vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation. Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez néanmoins continuer à bénéficier de la sécurité sociale française en adhérant à des assurances volontaires.
Vous pouvez adhérer auprès de la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour les assurances maladie-maternité-invalidité, accidents du travail et maladies professionnelles et vieillesse (retraite de base).
Vous pouvez vous assurer contre un ou plusieurs de ces risques en fonction de votre situation familiale et des particularités du régime local de sécurité sociale.
Sous certaines conditions, vous pouvez également cotiser (individuellement ou par le biais de votre entreprise) :
pour votre retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE) si vous êtes non-cadre ou de l’Ircafex (retraite des cadres et assimilés) si vous êtes cadre,
pour votre assurance chômage, auprès du Service expatriés de France Travail (anciennement Pôle emploi).
L’adhésion aux assurances volontaires ne vous empêche pas de cotiser au régime obligatoire de votre pays d’expatriation. Même si vous adhérez aux assurances volontaires, vous pouvez bénéficier de la convention bilatérale existant entre la France et votre pays d’expatriation, si elle existe.
Si vous êtes fonctionnaire
Si vous êtes envoyé par votre administration auprès d’une ambassade, d’un consulat ou de tout autre organisme officiel, vous restez couvert par la sécurité sociale française.
C’est à votre employeur de faire les démarches et d’établir la demande de détachement auprès du Centre national de gestion de la mobilité internationale (URSSAF).
Pour bénéficier du remboursement de vos soins médicaux dans votre pays d’installation, vous devez demander le document S1 (inscription en vue de bénéficier de la couverture d’assurance maladie) à votre caisse d’assurance maladie en France. Vous devez ensuite le remettre à l’organisme maladie compétent dans votre pays d’installation.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous pouvez bénéficier d’un remboursement forfaitaire des soins sans que celui-ci puisse excéder le montant du remboursement qui aurait été alloué pour des soins reçus en France. Ceci même si les soins sont plus chers dans l’autre pays.
Vous n’êtes plus pris en charge par l’assurance maladie française. Renseignez-vous sur les possibilités ou l’obligation de vous assurer auprès du régime local de sécurité sociale.
Vous ne serez pas indemnisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Pour bénéficier du chômage, il faut vivre en France et il faut être en recherche effective d’emploi.
Si votre pays d’expatriation est lié à la France par une convention de sécurité sociale, vous bénéficiez des dispositions prévues par cette convention et d’une égalité de traitement avec les habitants du pays.
Les institutions compétentes à l’étranger prendront en compte votre durée d’assurance en France pour l’examen de vos droits éventuels aux différentes prestations.
S’agissant de votre couverture maladie, vous devrez demander avant votre départ le formulaire conventionnel d’attestation de périodes à votre caisse d’assurance maladie.
Pendant votre période d’emploi à l’étranger, vous aurez droit aux prestations locales d’assurance maladie, si elles existent, sur présentation du formulaire attestant de vos périodes d’assurance française. Ce droit vous sera ouvert dans un certain délai (variable selon les conventions) depuis la fin de votre période d’assurance française.
Vos droits dépendront du régime de sécurité sociale de votre pays d’expatriation.
Si vous les jugez insuffisants et souhaitez continuez à bénéficier du régime français pour certains risques, vous pouvez souscrire des assurances.
Vous pouvez choisir un créneau depuis votre compte ameli pour prendre un rendez-vous téléphonique le jour et l’heure qui vous convient. Vous allez dans la rubrique Mon agenda puis sélectionnez Prendre un rendez-vous .
Le jour du rendez-vous, un conseiller de l’Assurance maladie vous appelle à l’heure fixée sur le numéro de téléphone renseigné dans votre compte ameli pour faire le point sur votre dossier. Vérifiez les coordonnées indiquées dans votre compte avant de prendre rendez-vous.